@article{Graver_2017, title={The Dregs of Romulus. Stoic Philosophy in Cicero’s Pro Murena and De Oratore}, volume={1}, url={https://ojs.unito.it/index.php/COL/article/view/2203}, DOI={10.13135/2532-5353/2203}, abstractNote={<p class="p1"><em>The dregs of Romulus </em>reviews the evidence for Cicero’s attitude toward Stoic philosophy in the speech <em>pro Murena, </em>in letters of 61-60 referring to Cato, and in <em>de oratore. </em>None of these texts expresses any direct opposition to the core postulate of Stoic ethics, viz., that only what is honorable is good for a human being. What we do find in this group of works is a concern that adherence to a dogmatic system of ethics (1) impedes political communication, and (2) strips away the flexibility of application that is required for moral decision-making in complex situations. Cicero’s own stance as a philosophically trained politician is defined accordingly. </p><p class="p1"><em>The dregs of Romulus </em>examine la preuve de l’attitude de Cicéron à l’égard de la philosophie stoïcienne dans le discours <em>pro Murena</em>, dans des lettres de 61 à 60 se référant à Caton et au <em>de Oratore</em>. Aucun de ces textes n’exprime une opposi-tion directe au postulat de base de l’éthique stoïcienne, à savoir que seul ce qui est honorable est bon pour un être humain. Ce que nous trouvons dans ce groupe d’oeuvres est une préoccupation selon laquelle l’adhésion à un système dogma-tique d’éthique (1) entrave la communication politique, et (2) écarte la flexibilité d’application requise pour la prise de décision morale dans des situations com-plexes. La position de Cicéron en tant que politicien philosophiquement formé est définie en conséquence. </p&gt;}, number={1}, journal={Ciceroniana On Line}, author={Graver, Margaret}, year={2017}, month={May}, pages={67-95} }